Depuis plusieurs jours, Vincent Labrune planche sur son audition très attendue, au Sénat, par la « mission d’information sur l’intervention des fonds d’investissement dans le football professionnel français ». Même empêtré dans l’interminable feuilleton des droits télé de la Ligue 1 (période 2024-2029), sur lequel il joue très gros, il a pris le temps de revoir tout le dossier de l’accord avec CVC, le fonds qui a offert 1,5 milliard d’euros contre 13 % des recettes commerciales de la LFP. Un deal critiqué par plusieurs personnalités auditionnées ces dernières semaines par les sénateurs, qui ont notamment pointé du doigt le bonus de 3 millions d’euros du patron de la Ligue.