Greenly voit vert. La jeune pousse frôle les 10 millions de dollars de revenus récurrents (métrique de référence pour les logiciels sous abonnement) pour 2023, contre 4 millions l’année précédente, indique la start-up aux « Echos ».
La croissance est notamment portée par le Royaume-Uni et les Etats-Unis, qui représentent la moitié de ses revenus. « Nous avons quadruplé notre croissance dans ces pays », glisse Alexis Normand, le cofondateur, qui, selon les calculs de son entreprise, indique gérer environ 40 millions de tonnes de CO2, soit l’équivalent de 8 % des émissions françaises.